Mûre aux Coquelicots - Le Chêne et le Roseau
Avec Le Chêne et le Roseau, découvrez une recette délicate et raffinée où la richesse de la mûre rencontre la douceur florale du coquelicot. Un mélange subtil et élégant qui évoque à la fois la force et la délicatesse de la nature.
Pourquoi choisir "Le Chêne et le Roseau" ?
Un mariage envoûtant
La mûre, avec son caractère intense et légèrement acidulé, se marie à merveille avec la douceur sucrée et parfumée du coquelicot, pour une harmonie parfaite.
Un savoir-faire artisanal
Préparée avec soin, cette recette unique met en valeur des ingrédients naturels et authentiques, sans artifices ni conservateurs.
Une expérience sensorielle unique
Idéale sur une tartine, en accompagnement de fromages affinés, ou pour sublimer vos desserts, cette création transforme chaque dégustation en un instant de poésie.
Quand la nature inspire la gourmandise
Le Chêne et le Roseau, c’est une recette qui allie force et délicatesse, où les saveurs puissantes de la mûre s’adoucissent au contact de la subtilité florale du coquelicot. Une invitation à savourer l’authenticité avec une touche de sophistication.
Toutes les informations à savoir
Valeurs nutrinionnelles moyennes pour 100g de produit fini :
Energie en Kcal | 190,03 |
Eau | 51,49 |
Protéines | 0,84 |
Glucides | 46,11 |
dont sucres | 45,63 |
Lipides | 0,23 |
dont acides gras saturés | 0,01 |
Fibres | 1,05 |
Sodium en mg | 6,70 |
ou sel en mg | 16,75 |
EVENTUELLES TRACES DE FRUITS A COQUES.
Douce et légèrement acidulée, la Mûre aux Coquelicots du Chêne et le Roseau est parfaite sur des crêpes ou une brioche tiède pour un moment gourmand. Le mariage subtil de la mûre et des coquelicots apporte une touche florale qui enchantera vos papilles à chaque dégustation.
3 ans.
1 mois après ouverture au réfrigérateur.
Vous aimerez aussi ces recettes
Découvrez la fable
Le Chêne et le Roseau
Le chêne un jour dit au roseau :
« Vous avez bien sujet d'accuser la nature ;
Un roitelet pour vous est un pesant fardeau.
Le moindre vent qui d'aventure
Fait rider la face de l'eau
Vous oblige à baisser la tête :
Cependant que mon front, au Caucase pareil,
Non content d'arrêter les rayons du soleil,
Brave l'effort de la tempête.
Tout vous est Aquilon, tout me semble Zéphyr.
Encor si vous naissiez à l'abri du feuillage
Dont je couvre le voisinage,
Vous n'auriez pas tant à souffrir :
Je vous défendrais de l'orage.
Mais vous naissez le plus souvent
Sur les humides bords des royaumes du vent.
La nature envers vous me semble bien injuste.
— Votre compassion, lui répondit l'arbuste,
Part d'un bon naturel ; mais quittez ce souci.
Les vents me sont moins qu'à vous redoutables.
Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici
Contre leurs coups épouvantables
Résisté sans courber le dos ;
Mais attendons la fin. » Comme il disait ces mots,
Du bout de l'horizon accourt avec furie
Le plus terrible des enfants
Que le Nord eût portés jusque-là dans ses flancs.
L'arbre tient bon ; le roseau plie.
Le vent redouble ses efforts,
Et fait si bien qu'il déracine
Celui de qui la tête au ciel était voisin,
Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts.
Jean de La Fontaine.
Spécifications
Taille du pot | 240g, 350g |