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Fraise au Poivron - Le Lièvre et la Tortue
Osez la différence avec Le Lièvre et la Tortue, une recette unique qui marie la douceur fruitée de la fraise à l’audace subtile et légèrement sucrée du poivron. Un équilibre inattendu et savoureux, à découvrir absolument.
Pourquoi choisir "Le Lièvre et la Tortue" ?
Un mélange audacieux
La fraise apporte sa douceur et sa légèreté, tandis que le poivron, délicatement confit, ajoute une touche de profondeur et d’originalité.
Une création artisanale
Préparée dans notre atelier avec des ingrédients naturels, cette recette illustre l’alliance parfaite entre tradition et innovation.
Un plaisir culinaire versatile
À déguster sur une tartine pour un goûter surprenant, avec un fromage frais ou même pour accompagner des plats salés comme un filet de viande ou une salade gourmande.
Quand le fruit rencontre le légume
Avec Le Lièvre et la Tortue, découvrez une recette qui prend son temps pour révéler toutes ses subtilités. Une invitation à ralentir et à savourer chaque instant, avec un duo inattendu et parfaitement équilibré.
Toutes les informations à savoir
Valeurs nutrinionnelles moyennes pour 100g de produit fini :
Energie en Kcal | 225,03 |
Eau | 53,60 |
Protéines | 0,45 |
Glucides | 44,28 |
dont sucres | 43,85 |
Lipides | 0,19 |
dont acides gras saturés | 0,01 |
Fibres | 1,19 |
Sodium en mg | 2,07 |
ou sel en mg | 5,18 |
EVENTUELLES TRACES DE FRUITS A COQUES.
Un mélange surprenant et savoureux, la Fraise au Poivron du Lièvre et la Tortue se déguste sur une tartine de pain de seigle ou accompagnée d'un fromage de brebis. La douceur de la fraise se marie à la touche épicée du poivron, offrant une explosion de saveurs audacieuses et équilibrées.
3 ans.
1 mois après ouverture au réfrigérateur.
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Découvrez la fable
Le Lièvre et la Tortue
Rien ne sert de courir ; il faut partir à point.
Le Lièvre et la Tortue en sont un témoignage.
Gageons, dit celle-ci, que vous n'atteindrez point
Sitôt que moi ce but. — Sitôt ? Êtes-vous sage ?
Repartit l'animal léger.
Ma commère, il vous faut purger
Avec quatre grains d'ellébore.
— Sage ou non, je parie encore.
Ainsi fut fait : et de tous deux
On mit près du but les enjeux :
Savoir quoi, ce n'est pas l'affaire,
Ni de quel juge l'on convint.
Notre Lièvre n'avait que quatre pas à faire ;
J'entends de ceux qu'il fait lorsque prêt d'être atteint
Il s'éloigne des chiens, les renvoie aux Calendes,
Et leur fait arpenter les landes.
Ayant, dis-je, du temps de reste pour brouter,
Pour dormir, et pour écouter
D'où vient le vent, il laisse la Tortue
Aller son train de Sénateur.
Elle part, elle s'évertue ;
Elle se hâte avec lenteur.
Lui cependant méprise une telle victoire,
Tient la gageure à peu de gloire,
Croit qu'il y va de son honneur
De partir tard. Il broute, il se repose,
Il s'amuse à toute autre chose
Qu'à la gageure. À la fin quand il vit
Que l'autre touchait presque au bout de la carrière,
Il partit comme un trait ; mais les élans qu'il fit
Furent vains : la Tortue arriva la première.
Eh bien ! lui cria-t-elle, avais-je pas raison ?
De quoi vous sert votre vitesse ?
Moi, l'emporter ! et que serait-ce
Si vous portiez une maison ?
Jean de La Fontaine.
Découvrez la fable
Le Lièvre et la Tortue
Rien ne sert de courir ; il faut partir à point.
Le Lièvre et la Tortue en sont un témoignage.
Gageons, dit celle-ci, que vous n'atteindrez point
Sitôt que moi ce but. — Sitôt ? Êtes-vous sage ?
Repartit l'animal léger.
Ma commère, il vous faut purger
Avec quatre grains d'ellébore.
— Sage ou non, je parie encore.
Ainsi fut fait : et de tous deux
On mit près du but les enjeux :
Savoir quoi, ce n'est pas l'affaire,
Ni de quel juge l'on convint.
Notre Lièvre n'avait que quatre pas à faire ;
J'entends de ceux qu'il fait lorsque prêt d'être atteint
Il s'éloigne des chiens, les renvoie aux Calendes,
Et leur fait arpenter les landes.
Ayant, dis-je, du temps de reste pour brouter,
Pour dormir, et pour écouter
D'où vient le vent, il laisse la Tortue
Aller son train de Sénateur.
Elle part, elle s'évertue ;
Elle se hâte avec lenteur.
Lui cependant méprise une telle victoire,
Tient la gageure à peu de gloire,
Croit qu'il y va de son honneur
De partir tard. Il broute, il se repose,
Il s'amuse à toute autre chose
Qu'à la gageure. À la fin quand il vit
Que l'autre touchait presque au bout de la carrière,
Il partit comme un trait ; mais les élans qu'il fit
Furent vains : la Tortue arriva la première.
Eh bien ! lui cria-t-elle, avais-je pas raison ?
De quoi vous sert votre vitesse ?
Moi, l'emporter ! et que serait-ce
Si vous portiez une maison ?
Jean de La Fontaine.
Spécifications
| Taille du pot | 240g, 350g |