Figue à la bergamote - Le Loup et les Bergers
Avec Le Loup et les Bergers, découvrez une recette où l’intensité sucrée et généreuse de la figue s’accorde parfaitement avec la fraîcheur acidulée et raffinée de la bergamote. Un mélange élégant et surprenant, idéal pour les palais en quête d’originalité.
Pourquoi adopter "Le Loup et les Bergers" ?
Un mariage subtil
La figue, avec sa texture fondante et ses saveurs riches, est sublimée par les notes fraîches et citronnées de la bergamote pour un équilibre parfaitement harmonieux.
Artisanal et authentique
Préparée dans notre atelier avec des ingrédients de qualité, cette confiture ne contient ni conservateurs ni colorants, pour une expérience naturelle et gourmande.
Une touche d’audace pour vos repas
Idéale sur une tartine, elle accompagne également à merveille les plateaux de fromages, le foie gras ou même les desserts comme une tarte maison ou un yaourt nature.
Une invitation à la découverte des saveurs
Le Loup et les Bergers, c’est une recette où la richesse de la figue rencontre l’élégance parfumée de la bergamote, créant une expérience gustative unique et mémorable.
Toutes les informations à savoir
Valeurs nutrinionnelles moyennes pour 100g de produit fini :
Energie en Kcal | 198,32 |
Eau | 47,72 |
Protéines | 0,60 |
Glucides | 48,54 |
dont sucres | 48,12 |
Lipides | 0,18 |
dont acides gras saturés | 0,01 |
Fibres | 1,28 |
Sodium en mg | 2,01 |
ou sel en mg | 5,03 |
EVENTUELLES TRACES DE FRUITS A COQUES.
Un mariage subtil entre la douceur de la figue et la fraîcheur de la bergamote, la confiture Figue à la Bergamote du Loup et les Bergers se déguste sur une tranche de pain de campagne ou en accompagnement d'un fromage affiné. L'alliance de ces saveurs fruitées et légèrement parfumées crée une expérience gustative raffinée et pleine de caractère.
3 ans.
1 mois après ouverture au réfrigérateur.
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Découvrez la fable
Le Loup et les Bergers
Un Loup rempli d’humanité
(S’il en est de tels dans le monde)
Fit un jour sur sa cruauté,
Quoiqu’il ne l’exerçât que par nécessité,
Une réflexion profonde.
Je suis haï, dit-il, et de qui ? De chacun.
Le Loup est l’ennemi commun :
Chiens, Chasseurs, Villageois s’assemblent pour sa perte :
Jupiter est là-haut étourdi de leurs cris :
C’est par là que de Loups l’Angleterre est déserte :
OnN 1 y mit notre tête à prix.
Il n’est hobereauN 2 qui ne fasse
Contre nous tels bans publier :
Il n’est marmot osant crier
Que du Loup aussitôt sa mère ne menace.
Le tout pour un Âne rogneux,
Pour un Mouton pourri, pour quelque Chien hargneux
Dont j’aurai passé mon envie.
Et bien ne mangeons plus de chose ayant eu vie :
Paissons l’herbe, broutons, mourons de faim plutôt :
Est-ce une chose si cruelle ?
Vaut-il mieux s’attirer la haine universelle ?
Disant ces mots il vit des Bergers pour leur rôt
Mangeants un agneau cuit en broche.
Oh, oh, dit-il, je me reproche
Le sang de cette gent ; Voila ses Gardiens
S’en repaissants, eux et leurs chiens ;
Et moi, Loup, j’en ferai scrupule ?
Non, par tous les Dieux non ; Je serais ridicule.
Thibaut l’agnelet passera,
Sans qu’à la broche je le mette ;
Et non seulement lui, mais la mère qu’il tette,
Et le père qui l’engendra.
Ce Loup avait raison : Est-il dit qu’on nous voie
Faire festin de toute proie,
Manger les animaux, et nous les réduirons
Aux mets de l’âge d’or autant que nous pourrons ?
Ils n’auront ni croc ni marmite ?
Bergers, bergers, le loup n’a tort
Que quand il n’est pas le plus fort :
Voulez-vous qu’il vive en ermite ?
Jean de La Fontaine.
Spécifications
Taille du pot | 240g, 350g |